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Suite à la victoire de Victoria AZARENKA à l’Open d’Australie, son entraîneur Sam SUMYK a intégré le cercle très fermé des grands entraîneurs français de haut niveau c’est-à-dire ceux qui ont vu leur joueur (se) remporter un titre majeur et/ou accéder à la 1er place mondiale.
Depuis janvier dernier il a donc été beaucoup plus sollicité par les médias et on a pu ainsi le découvrir davantage.
Je trouve qu’il se dégage chez lui évidemment beaucoup de passion pour son métier, mais aussi une très grande humilité et une recherche permanente de tout ce qui peut faire progresser sa joueuse avec une quête constante de « la bonne idée au bon moment ».
De plus, j’ai beaucoup aimé dans ses interviews son authenticité. Dernièrement, dans l’une d’entre elle et alors que la question ne portait pas sur son niveau de jeu, il n’a pas hésité à dire que son meilleur classement avait été 3/6. Comme quoi on peut être un grand entraîneur sans nécessairement avoir été un grand joueur et c’est un message je crois très positif et important pour tous les jeunes entraîneurs français qui s’occupent d’enfants parmi lesquels se trouvent certainement la relève de demain.